segunda-feira, 18 de janeiro de 2010

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"Techno-" (revue Tracés n°16)

Appel à contribution

Information publiée le mercredi 12 mars 2008 par Alexandre Gefen (source : Florent Coste)

Date limite : 30 septembre 2008

« Techno- » – Appel à contribution Revue Tracés, n° 16 Techno-, le préfixe s'immisce dans notre langue et crée des néologismes qui sont désormais légion : technologies de l'information et de communication (TIC), nanotechnologies, biotechnologies, technocraties, technostructures, technosciences, musiques techno et électroniques, etc. A l'occasion de son numéro 16, la revue Tracés se consacre à la question des techniques et des technologies (des plus rudimentaires, aux plus élaborées). Le choix de ce titre n'est pas innocent et entend nous faire envisager un paysage complexe d'objets, de relations, de pratiques et de discours qui relèvent de domaines différents. Nous souhaiterions saisir les techniques non pas tant comme une substance ou un concept stables, que comme une interface qui, située à l'intersection de l'homme et de la nature, établit entre eux un rapport dynamique et peut-être constituant. Le principal objectif que se fixe ce numéro est de s'interroger précisément sur les rapports (jonctions ou disjonctions, soudures ou ruptures, continuités ou discontinuités) entre l'homme et la machine, quitte à cerner des chevauchements et des hybridations. Plusieurs axes pourront être empruntés par les contributeurs. 1. Innovations technologiques et conséquences sociales De l'invention à l'innovation. La sacralisation des inventeurs, des pionniers et autres visionnaires participe d'une idéologie du progrès qui, au lieu de les éclairer, masque les procédés complexes de l'innovation, avec ses tentatives répétées, ses ajustements, ses perfectionnements ou ses erreurs (Hilaire-Perez, 2000). Il reste cependant difficile de penser l'innovation technologique, alors que cette dernière échappe précisément à nos descriptions présentes. Parmi d'autres controverses, les questions des OGM ou des cellules souches illustrent bien aujourd'hui comment les innovations, en ébranlant nos habitudes, nous amènent par exemple à réévaluer nos principes éthiques et à actualiser nos normes juridiques. Car les innovations technologiques perturbent sans cesse nos horizons d'attente et s'accommodent plus ou moins au contexte local dans lequel elles s'insèrent. La critique des TOT (transferts of technology), quand ils sont imposés « d'en haut », a permis d'attirer l'attention, dans les sciences sociales, sur les conditions « autochtones » de réception de ces transferts, et notamment aux écarts entre d'une part les objectifs affichés et d'autre part le faible impact sur les économies locales et les effets de déstructuration sociale (Geslin, 1999). A quoi nous détermine la technique ? Les historiens et les sociologues des sciences et des techniques nous fournissent sur ce point des pistes éclairantes. Que le taylorisme ait participé à une réorganisation et à une rationalisation des conditions de travail, productrices de nouveaux gestes (Cohen, 2001), que différentes « technologies de l'intellect » aient contribué à l'émergence d'une sphère publique et étatique (Goody, 2007) ou que la dactylographie et la sténographie aient pu affecter les techniques d'administration et consolider des institutions comme le Parlement ou la justice (Gardey, 2008), l'action humaine semble sans cesse remodelée et reconfigurée par un environnement technique avec lequel elle ne cesse d'entrer en interaction dynamique (Suchman, 2007, Conein, Dodier, Thévenot, 1993). On pourra notamment examiner dans une approche ethnolinguistique les effets des nouvelles possibilités de communication permises par Internet (forums de discussion, chat, mail, visioconférence). Dans la perspective des Gender Studies, on pourra s'intéresser également aux réaménagements des identités genrées par les techniques de contraception, les techniques de travail ou les technologies de communication. Les apports de la géographie et des sciences économiques seront précieux pour analyser des espaces, des territoires, des marchés en voie de reconfiguration sous l'effet des nouvelles technologies. Le cyborg, un genre humain hybride. Bien plus, les techniques semblent esquisser de nouveaux contours du genre humain. La révolution à venir des nanotechnologies (technologies à l'échelle des constituants de la matière) invite à des questionnements nouveaux croisant sciences naturelles (chimie, biologie, physique) et sciences sociales, dans une perspective éthique. Elles exigent de saisir les interactions entre l'organisme de l'utilisateur et la machine aussi petite soit-elle (Tournay et Vinck, 2006) et semblent témoigner de l'avènement d'un temps du cyborg (cybernetic organism). Quelles sont alors les métaphores heuristiques que mobilise le discours scientifique pour décrire respectivement l'homme et la machine ? Le propos de G. Canguilhem (1952) peut nous aider à inverser nos questionnements traditionnels : « On a presque toujours cherché, à partir de la structure et du fonctionnement de la machine déjà construite, à expliquer la structure et le fonctionnement de l'organisme ; mais on a rarement cherché à comprendre la construction même de la machine à partir de la structure et du fonctionnement de l'organisme ». Qui, de l'homme ou la machine, est le référent de l'autre ? Dans une « ère post-humaine » (Fukuyama, 2002) s'élaborant à la faveur des révolutions biotechnologiques et des recherches en Intelligence Artificielle, n'y a-t-il pas, au prix d'un effort terminologique certain, une troisième voie à trouver entre description mécaniste de l'homme et description anthropomorphiste de la machine ? 2. Les usages de la technique : au plus près des pratiques ordinaires Cependant à trop se focaliser sur les innovations et à se placer sous l'angle de la nouveauté, on occulte l'usage de techniques plus ordinaires dont l'obsolescence ne suffit pas à justifier qu'on s'en désintéresse (Edgerton, 1998). L'appropriation des techniques par les individus n'est sûrement pas mécanique, mais elle implique un ensemble d'ajustements dynamiques. Ce numéro examinera les usages et les apprentissages que l'on fait de la technique d'un point de vue tant cognitif que corporel. Les ruses ordinaires de la technique. Les techniques orientent, canalisent et contraignent nos actions, elles ouvrent aussi un espace de possibles. Ce numéro entend faire la part belle aux artisans, techniciens, ingénieurs, inventeurs, bricoleurs, ouvriers, qui par l'acquisition de compétences, de maîtrises, de savoir-faire (routines, habileté...) se ménagent une part de liberté, du moins une marge de manoeuvre. Les machines sont de l'ordre du procédé et de l'expédient, à la recherche d'effets et d'efficacité. Par un processus incessant de réagencement entre les fins et les moyens, les techniques participent de l'astuce, de l'ingéniosité, de la ruse (métis) et font de l'homme un animal de la praxis, plutôt que de la poiesis. Pour la sophistique antique, les mêkhanai, les techniques du discours, sont ainsi ces procédés (feintes, fictions, subterfuges) qui opèrent opportunément des renversements dans des rapports de force initialement défavorables. La technique déploie un espace de liberté : du sophiste à l'ingénieur de Galilée, l'homme devient expert du retraitement, de la récupération, du détournement et du contournement. Il participe ainsi à une domestication partielle de son environnement. Manipulations, détournements et récupérations de la technique. Le champ complexe et touffu des actions humaines s'enrichit et se reconfigure à l'aune des interactions entre l'homme et la machine. Les acteurs en milieu technique sont-ils les « chefs d'orchestre » organisant et harmonisant des systèmes techniques ouverts et en interaction permanente avec leur environnement (Simondon, 1989) ? Sont-ils ces « boucher », « arpenteur », et « forgeron » par lesquels Bastien Gallet (2002) désigne un artiste des musiques électroniques à l'identité en incessante recomposition, à cheval entre plusieurs espaces, plusieurs temporalités, plusieurs modes d'action ? Les relations mouvantes (d'opposition ou de conciliation) entre les statuts de l'artiste et de l'artisan illustrent bien ce problème et nous amènent à nous demander dans quelle mesure l'importation de différentes techniques participe à la constitution ou à la contestation d'un champ artistique et esthétique autonome. Aujourd'hui, dans un « monde de l'art » où les technologies et le digital (vidéo, informatique, musiques synthétiques) s'immiscent dans ses institutions, la rupture avec un modèle post-romantique du génie de l'artiste inspiré semble consommée, laissant la place à un artiste expert en programmation, en manipulations de logiciels, doté de savoir-faire et de compétences techniques. Les pratiques du sampling et du remix dans les musiques électroniques peuvent à cet égard être analysées comme des dispositifs de bouclage, d'échantillonnage et de retraitement sériel, producteur d'effets musicaux et sensoriels inédits. Les techniques semblent donc déplacer les lieux et les normes de l'action. 3. Les technologies au coeur du politique. Une profonde continuité lie les technologies, les descriptions que nous formons de notre monde, les modes d'action et les types de gouvernances qui l'administrent. Ce numéro souhaite donc poser la question complexe des rapports entre les techniques, le pouvoir et la politique. Techniques de pouvoir et de gouvernement. Prenant acte de la rupture opérée par Foucault avec le paradigme juridique de la loi afin de penser le pouvoir, on aura soin de rendre compte du politique à partir des divers types de rationalité qu'il met en oeuvre dans le but de « conduire les conduites des hommes » (Foucault, 2001c). L'exercice du pouvoir est irréductible au couple interdit/répression. Il implique au contraire la mise en place de stratégies à la fois négatives (l'interdiction par exemple) et positives (production de corps normalisés notamment). C'est dire que le pouvoir politique n'est pas une substance unifiée, mais un ensemble mouvant de micro-pouvoirs reposant sur une série de technologies non pas imposées du dehors par un pouvoir transcendant, mais reconduites de manière permanente par les individus qui les investissent et qui en sont investis. On ne décrit pas le pouvoir à partir de l'interdit de la loi, mais à partir de la rationalité et des techniques qui rendent compte du rapport gouvernant/gouverné. Ensemble descriptif que Foucault baptise du nom de « gouvernementalité » (2001a). On se tournera dès lors vers l'histoire du droit, riche d'enseignement sur les pratiques juridiques, les procédures et les techniques d'administration de la peine. On explorera les modalités de construction de l'autorité et des figures de chef aussi bien dans les bureaucraties que dans le monde industriel (Cohen, 2006). L'anti-technicisme : la responsabilité des techniques. La machine politique a été souvent vue comme un appareil administratif déconcertant par sa transcendance et comme un ensemble de mécanismes autonomisés, sans fin ni origines, au coeur duquel l'homme est noyé et broyé. Que l'on pense simplement au Procès et à la Colonie Pénitentiaire de Kafka, à l'ensemble de la filmographie de David Cronenberg, à Brazil de Terry Gilliam ou encore à 2001, l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick : la machine du pouvoir (ou celle qui prend le pouvoir) fait figure d'alien, devient facteur d'aliénation et suscite à la fois suspicion et fascination. Le projet philosophique de l'École de Francfort (de Horkheimer à Habermas) s'ancre en partie dans un discours plus radicalement anti-techniciste. La non-neutralité de la technique entraîne un asservissement instrumental de la raison. L'autonomie de la technique semble donc s'attirer les foudres anti-technicistes qui peuvent y voir, outre la fin de la relation « naturelle » entre les fins et les moyens, une irrationalité profonde, qu'une nouvelle éthique de la technologie se devrait d'endiguer (Jonas, 1998). D'autres formes de contestation apparaissent contre l'ordre des machines et de leurs machinations : des briseurs de machine (luddisme) s'insurgeant contre la première industrialisation aux plus récentes formations écologistes (Bourdeau, Jarrige, Julien, 2006). La démocratie technique : la responsabilité envers les techniques. La critique actuelle que se voit adresser la technocratie des experts et des conseillers invite à rediscuter les modalités de la vie démocratique et l'inscription des techniques en son sein. Nous invitions les contributeurs à prendre au sérieux le « techno » de technocratie tout en décrivant la genèse ou les incarnations de cette conception du pouvoir depuis les « non-conformistes » des années 1930 jusqu'à l'ENA ou la haute fonction publique européenne. A travers l'analyse des controverses « sociotechniques » (amiante, OGM, clonage, vache folle ; voir Chateauraynaud et Tony, 2000), certains empruntent des voies moins suspicieuses à l'égard de la machine, en tentant de démontrer l'interdépendance de la société et de la technique. La crise de la démocratie sous sa forme représentative et la déconnexion technocratique entre raison d'Etat et raisons particulières ne sont-elles pas le symptôme d'un partage excessif entre experts et publics, et plus largement entre humains et non-humains ? Comment intégrer l'objet technique dans l'agora ? Que ce soit par l'émergence de « forums hybrides », par la délégitimation du monopole scientifique des experts dans l'orientation du politique, par le développement d'une « contre-expertise citoyenne » ou même par l'engagement de scientifiques dans le débat public (Callon, Lascoumes, Barthe, 2001 ; Bonneuil, 2006), il convient de se demander comment l'articulation entre dialogue public, citoyenneté, expertise et prise de décision redessine les contours de la démocratie. C'est en entendant plus radicalement saper certaines dualités occidentales dominantes (nature/culture, moi/autre, esprit/corps, masculin/féminin), que se formule la « politique du cyborg », en partie initiée par Donna Haraway et le cyberféminisme, qui, à bonne distance d'une technophobie primaire, invitent à cultiver une responsabilité envers les machines. Dans cette optique, on questionnera également ce que l'on entend par principe de précaution. N'est-ce qu'un principe d'abstention destiné à reporter et à figer les décisions dans l'attente d'expertises scientifiques ? N'est-ce pas aussi et surtout une condition pour une réappropriation politique des débats scientifiques ? 4. Rhétorique et mise en scène des techniques Les néologismes évoqués plus haut témoignent d'un effort d'adaptation du langage pour donner une place propre aux techniques. Se pose donc en définitive la question de la visibilité et de la représentation des techniques dans la cité. On s'intéressera ainsi aux modes de présentation, de modélisation, de formalisation (texte, schéma, iconographie, etc.) de la technique dans des types d'écrits qui en problématisent le fonctionnement, que ce soient dans les traités techniques, dans les manuels, les modes d'emploi, dans les Arts de la guerre. Des planches d'illustration de l'Encyclopédie de Diderot au genre de la science-fiction, qui interroge les changements de l'environnement social et procède à des expérimentations linguistiques et stylistiques susceptibles d'en rendre compte, les technologies sont inséparables des discours, des mythologies et des théories qui l'investissent. On relèvera avec profit la part de fiction futuriste que peuvent contenir les musiques électroniques (« We are the robots » de Kraftwerk, l'afro-futurisme plus austère d'Underground Resistance, le minimalisme de Richie Hawtin). Les procédés pédagogiques d'exposition, de valorisation, et de muséographie, qui tentent de conférer une intelligibilité aux techniques méritent tout autant notre attention : dans quelle mesure les techniques participent-elle à l'administration et à la démonstration de la preuve au sein de la communauté scientifique ? Y a-t-il une solution de continuité entre le monde en apparence confiné des laboratoires et l'espace public (Rosental, 2007) ? Bibliographie indicative Benjamin Walter, 2000, L'oeuvre d'art à l'heure de sa reproductibilité technique, Oeuvres III, trad. M. de Gandillac, R. Rochlitz, Paris, Gallimard (Folio essais). Bonneuil Christophe, 2006, « Cultures épistémiques et engagement des chercheurs dans la controverse OGM », Natures Sciences Société, vol. 14, n° 3, p. 257-268. Bourdeau Vincent, Jarrige, François et Vincent, Julien, 2006, Les luddites. Bris de machines, économie politique et histoire, Maisons-Alfort, Editions Ere. Callon Michel, Lascoumes Pierre, Barthe Yannick, 2001, Agir dans un monde incertain. Essai sur la démocratie technique, Paris, Le Seuil (La couleur des idées). Canguilhem Georges, 2003 [1952], La connaissance de la vie, Paris, Vrin. Chabaud-Rychter Danielle et Gardey Delphine, 2002, L'engendrement des choses. 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Tournay Virginie et Vinck Dominique éd., 2006, « La fabrique des nanotechnologies », Quaderni, n°61. Indications pour les propositions : Nous le rappelons à chaque numéro : l'appel à contribution n'a en aucun cas valeur d'obligation. Il a simplement vocation à suggérer aux rédacteurs potentiels quelques pistes générales de réflexion, à leur rappeler également que la revue Tracés attend un propos analytique et argumenté. Nous avons choisi de distinguer deux rubriques au sein des articles : une rubrique « analyses » et une rubrique « enquête ». Cette distinction a pour but de clarifier la démarche de l'article, étant entendu que la présentation de l'argumentation et les exigences de recevabilité ne sont pas les mêmes quand il s'agit d'un article seulement théorique ou quand il s'agit d'un article provenant d'une étude empirique. « Analyses » : Cette rubrique regroupe des articles théoriques articulés autour d'un problème général, directement relié au thème du numéro. Les contributions doivent donc absolument comprendre une bibliographie appuyant la thèse centrale et permettant de justifier un ancrage théorique clairement annoncé. Devront de plus apparaître dans la proposition, de façon explicite, la thèse défendue et son lien direct avec le thème, les étapes de l'argumentation et un positionnement par rapport au traitement du même thème dans d'autres disciplines. Ces articles peuvent aussi bien être des commentaires de l'oeuvre d'un auteur en particulier, que des travaux d'histoire de « seconde main », par exemple. « Enquêtes » : Cette rubrique attend des contributions empiriques. Il est donc impératif de préciser le terrain qui fonde l'argumentation. Par exemple, dans un article d'histoire appuyé sur des sources, il est nécessaire de présenter le corpus. La méthode employée, à la fois pour recueillir et interpréter les données, devra aussi être justifiée. Par exemple, qu'apporte une méthode qualitative au traitement du problème, par rapport à une méthode quantitative ? Le choix d'une méthode va souvent de pair avec un ancrage théorique. L'articulation entre ces deux dimensions devra aussi apparaître. Ces contraintes ne doivent pas conduire à un simple exposé monographique. La contribution devra clairement rattacher le terrain au thème du numéro, en annonçant la thèse générale que permet d'énoncer le travail empirique. « Notes » : Nous retenons au moins trois types de contributions : les recensions de parutions récentes, des notes critiques sur un ouvrage en particulier ou sur une controverse scientifique, la mise en lumière de travaux méconnus en France. Les recensions d'ouvrages publiés hors de France sont naturellement bienvenues. « Entretiens » : Les contributeurs qui souhaiteraient réaliser un entretien sont invités à prendre contact directement avec le comité de rédaction (redac.traces@ens-lsh.fr). Il est donc demandé aux contributeurs de bien préciser pour quelle rubrique l'article est proposé. NB : L'insertion d'images et de supports iconographiques est possible dans un nombre limité (Précisez-le dans votre déclaration d'intention) Les rédacteurs devront envoyer leur contribution (50 000 signes maximum, bibliographie et espaces compris, pour les articles, et jusqu'à 20 000 signes pour les notes ; le nombre de signes inclut les espaces mais pas la bibliographie) avant le 30 septembre 2008 à l'adresse suivante : redactraces@ens-lsh.fr. Les rédacteurs doivent informer préalablement le comité de rédaction de Tracés de leur projet par courrier électronique en indiquant le titre de leur contribution et la rubrique dans laquelle ils le proposent. Nous demandons également aux contributeurs de tenir compte des recommandations en matière de présentation jointes à cet appel ou disponibles prochainement sur notre nouveau site : www.traces.revues.org

Responsable : Revue Tracés